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samedi 2 janvier 2021

Pêche et pêcheurs de Collioure...fa temps !

 LA  PÊCHE  A  COLLIOURE… FA TEMPS
Armand Aloujes avec la collaboration de Louis Salembien.

     


Cher lecteurs du Blog « Massana-Albera », si j’ai pu vous donner certains renseignements sur cette activité, c’est grâce à mon ami Louis Salembien car, il a eu l’occasion de participer activement à ce métier, en tant que mousse d’abord, puis matelot sur diverses barques. Nous sommes tous les deux, de la même génération, et avons passé notre enfance, dans le même et vieux quartier du « Muret » à Collioure, mais, nous n’avons pas suivi le même chemin, lorsqu’il a fallu choisir. Nous nous sommes retrouvés plus tard, à l’usine de Paulilles, après qu’il eut quitté la pêche      

Louis Salembien m’a transmis toutes ces informations notées patiemment il y a quelques années, dans un document très explicite sur le métier de marin-pêcheur. Merci à lui de nous les avoir fait partager. De plus, en fin de texte, avant, la conclusion, Louis nous raconte quelques souvenirs personnels.
De Caucoliberis à Cotlliure.
Il y avait une fois, … C’est ainsi, que toutes les belles histoires commencent ! La mienne, c’est celle d’un petit village, blotti au bord de l’eau, au pied des derniers contreforts de la chaîne des Pyrénées. L’histoire de ce village, Collioure, a été marquée par des périodes de guerres, entre les rois de Majorque et d’Aragon, et l’Espagne toute proche. Mais, c’est surtout, son activité débordante, qui a animé ces lieux, pendant des siècles, et qui a fait sa réputation : La Pêche.
Mais, avant tout cela, Collioure avait un autre visage. Au VI° siècle avant J-C, la ville et toute la région, étaient occupées par les Visigoths, et nous pensons que les premières constructions, datent de cette époque. Puis, ce fut les romains, qui firent leur apparition ; on retrouve dans la région, de nombreux vestiges, que les envahisseurs ont laissés : Monuments, routes, édifices. Ils baptisèrent Collioure (Castrum Caucoliberis). Tout comme Port-Vendres (Portus Veneris), ou encore Château Ultréra (Vulturaria), les Cluses (Clausurae), et encore Elne (Illiberis et Castrum Helenae). Il fallut attendre 1375 pour nommer notre ville Cotlliure en catalan !
Comment vivre dans le petit port ?
      Pendant longtemps, le village vécut selon ses us et coutumes. Seules les guerres vinrent troubler la quiétude des lieux. Et c’est dans ce contexte, que Vauban, architecte des fortifications, s’appliqua à fortifier la ville : Remparts, forts, fossés, murailles de protection, ici, et dans plusieurs sites vulnérables de la région. Il est impératif de rappeler, quand même, que la pêche n’est arrivée qu’après le trafic maritime imposé par les grecs et romains. Pourquoi Collioure, plutôt que Port-Vendres ? Les routes n’étaient pas facilement praticables à l’époque et le transport par terre mal aisé. Port-Vendres, faisait partie de la ville de Collioure, et ses habitants, une centaine environ, n’étaient pas sédentaires. Le port, ou du moins, son anse naturelle, servait d’abri aux bateaux surpris par la tempête. Collioure fut donc favorisé, pour assurer le trafic maritime, étant plus près des circuits de distribution et des lieux de consommation. Lorsque Port-Vendres fut apte à assurer le trafic par mer, Collioure se dirigea donc vers la pêche.

      D’après les archives de l’amirauté de Collioure (1691-1790), créées par Louis XIV, on ne trouve aucune trace de pêche, avec ce que l’on appelle « Les filets dérivants, ou pélagiques » Il n’était question que de pêche au Bœuf (Bou), filet tiré par deux barques, (Gangui o Ganxi), crocher ou gros hameçon, palangre, et madrague (pour encercler le thon). Ce sont les pêcheurs génois qui, paraît-il, ont introduit cette fameuse pêche, avec ces filets dérivants, munis de bouées en liège (boies) reliées aux filets, par un filin (la culuma), qui permettait d’immerger les filets (xarxes) à la profondeur voulue. C’est alors que le roi d’Espagne, Philippe III, interdit cette fameuse pèche, car, disait-il, elle portait préjudice aux autres pêches ! De Gêne à Collioure, o dels Genovesos als Cotlliurencs
    

  Cela, n’empêcha point, les colliourencs, d’imiter les génois, d’autant plus, qu’ils connaissaient les endroits poissonneux. Ils savaient que la sardine pouvait se pêcher entre le Cap Cerbère et le Cap Leucate. Suivant les années, la pêche pouvait commencer, fin janvier ou début février. Le meilleur mois étant Mai, où la sardine se trouvait plus, au large. Jusqu’en juin, puis en septembre, il fallait la pêcher du côté de Port-la-Nouvelle ou Gruissan. Certains propriétaires de barques, confiaient leurs embarcations, à des patrons-pêcheurs, pour diverses raisons : C’était des hommes très expérimentés, connaissant tous les reliefs des fonds marins, rochers, épaves. Ils étaient capables de lire l’heure la nuit, avec les étoiles sur l’horizon. A l’époque, il n’y avait pas, de GPS, ni sondeur.

La pratique de cette pêche, s’est améliorée au fur et à mesure, et cela par voie orale, concertée, réfléchie, instinctive. Les patrons faisaient preuve d’intelligence, de subtilité ! Leurs échecs, leur servaient de leçon. Ils avaient intérêt à partager leur savoir-faire, et surtout le faire savoir. Ici, l’école, c’était le travail, et les bons résultats, leurs récompenses. C’est ainsi, que s’est forgé le métier !
La sardine se pêchait en deux temps : Le soir, (la prima), et l’aube (l’alba). Les barques quittaient le port, en fin d’après-midi, pour profiter du vent marin (el garbí), qui tombait le soir, et obligeait les marins à prendre les rames. Avant de caler les filets (sardinals), le patron surveillait le sens du courant, son intensité, pour faire un compromis entre ce courant et le coucher du soleil. Les barques calaient à peu près en même temps, en gardant un espace (espai), de 4 à 500 mètres, pour ne pas s’entremêler à l’aube, où il faisait encore nuit. Le patron criait très fort, pour indiquer à ses voisins, dans quel sens il calait ses filets : soit (Garbiau) vers le sud-est, ou (llaventau) vers l’est. Les filets étaient maintenus entre deux eaux, comme expliqué plus haut, avec ces fameuses Boies, 49 en tout, plus le signal. Ils mesuraient 100 mètres de long sur 15 de large. Constitués de fils de coton très fin (Le nylon, n’existait pas à l’époque). Ils étaient maintenus verticalement, par des flotteurs de 8 cm de diamètre, à la ralingue supérieure, et des balles de plomb à la ralingue inférieure. Chaque barque utilisait 4 filets.

     En 1820, quarante-cinq bateaux (llaguts) pêchaient la sardine à Collioure. En 1844, on s’avise que les pêcheurs génois (encore eux), venaient pêcher l’anchois, dans nos mers, au mois de mai. Le port, recevait alors, près de 200 bateaux de pêche. Les captures d’anchois, furent de plus en plus importants, et les pouvoirs publics ne manquèrent pas de s’intéresser, à cette source de revenus, et prirent des mesures pour inciter nos marins, à l’exploitation de cette nouvelle pêche. Le conseil général des P O, instaura l’octroi de deux primes de 400frs chacune : La première destinée aux deux bateaux nouvellement armés, et la deuxième, au patron qui obtiendrait la pêche la plus importante. Une troisième prime de 200frs, fut allouée à la confection de filets. La flotte se développa, et, en 1880, elle comptait 120 barques. La pêche à l’anchois, se pratiquait toute la nuit, en juin, juillet et août. Les barques partaient plus tôt que pour la pêche à la sardine, car il fallait profiter du vent, pour aller plus au large. Les filets se calaient au coucher du soleil, ils étaient immergés à une profondeur maximum de 3 brasses, contrairement au sardinal, où l’on pouvait caler plus profond. Un fanal et une cloche, étaient là, pour contrôler si les filets étaient bien tendus. Aussitôt en mer, il fallait donc les surveiller. Les matelots se remplaçaient, tous les quarts d’heure. Ils relevaient une quinzaine de mètres de filets, pour contrôler la prise d’anchois (una espia) - Un coup d’œil, un regard - car la hantise était, que trop de poisson, aurait pu entraîner les filets vers le fond, sans pouvoir les remonter - L’anchois péché à la maille, était de meilleure qualité, car bien calibré, faisant son sang, lors du démaillage (desempescar) ce qui assurait un meilleur goût, après salaison. Ces filets, que les pêcheurs dénommaient (anxoveres), se composaient de 9 pièces de 65 mètres de long sur 20 de large, et de maille 14 (pour la sardine : de 12 à 14). Ils étaient aussi en coton, putrescibles, qu’il fallait teindre, dans une teinture faite de décoction d’écorce de pin. Cette période, qui fut la plus féconde, a été suivie, d’une plus néfaste, pour la pêche à l’anchois.
De 1876 à 1902, des désaccords survinrent entre pêcheurs et saleurs. Grèves, manifestations se succédèrent, sans arriver à un accord. Question de rentabilité, concurrence.

 Résultat :  La pêche à l’anchois est arrêtée à Collioure en 1930. Alors qu’en 1907, on comptait encore, jusqu’à 140 barques, En 1940, 46 seulement. C’est donc, vers la pêche au Lamparo que le gouvernement de Vichy, autorise cette pêche (grosses lampes, lumières pour attirer le poisson). Deux barques seulement, la Vénus et la Vérité, firent installer le gazogène sans trop de succès. Les lampes à acétylène étaient utilisées pour les feux des lampes, sans trop de satisfaction. Finalement, l’occupant, fit débarrasser la plage de tous les bateaux qui s’y trouvaient, pour les parquer sur la place du marché. L’accès aux plages fut interdit !…

 

 Essayons de Conclure.
      Je voudrais terminer ce reportage que nous a livré Louis Salembien. Reportage, qui laisse percevoir une certaine amertume et déception, de voir ce qu’a été notre cher petit village, et ce qu’il est maintenant. Louis, a été un des acteurs malheureux et témoin de cette dégradation progressive. Si certains, ont profité de la situation, d’autres, ont connu la misère, et ont été obligés de se recycler. Les tristes événements, qui se sont produits ici, ne peuvent être rapportés aujourd’hui .Ils sont hors de propos. Pourtant, tout marchait bien, à une certaine époque.

      A cette activité principale, qui était la pêche, se greffaient plusieurs autres métiers : Ravaudeuses de filets, saleuses, cordiers, charpentiers de marine (Je voudrais nommer mon grand-père Jean Aloujes dit « en Janet » ou encore, ateliers de conditionnement pour le salé et le frais, grossiste et détaillant, (ma grand-mère Marie dite « la Bonica », poissonnière) sans compter les métiers traditionnels, épicerie, boucherie, boulangerie etc.… Collioure comptait environ 3500 âmes.
    

  La ville était un véritable chantier, mais, son entretien laissait à désirer, ainsi que sa propreté. Si on se situe, au début du siècle dernier, les rues, les murs, les lieux publics, ne sont pas très propres, pour ne pas dire sales, crasseux, poisseux, pas d’hygiène, l’eau courante n’existait pas. L’odeur du poisson, se mêlait aux effluents qui émanaient de l’eau nauséabonde des éviers, qui ruisselait à même la rue. Mais, comment peut-on imaginer, que certains artistes peintres, ont pu aimer ce décor ? Quel démon a pu les pousser jusqu’ici ? Mais, nous, les habitants, nous les enfants, c’était notre village, notre lieu de naissance, notre nid, notre terrain de jeux, bien entourés par la famille, acceptant ce que nos parents nous ont laissé. Et puis, comment savoir si ailleurs c’était mieux. Nous ne le savions pas !
      Ici, c’était notre univers, et la joie de vivre. Et nous vivions heureux ! Pour les peintres, c’était peut-être le soleil, le bleu du ciel, les voiles des bateaux, qui s’ouvraient comme des ailes de papillons. Mais cela, à nous, ne nous intéressait pas. Nous, les enfants, il nous tardait d’être grands pour pêcher comme ont fait nos pères et grands-pères. Il est vrai, que tout enfant male dans les familles, était orienté vers la pêche, dès l’âge de 11 ou 12 ans. Ici, il n’y avait pas de chômage. Bien sûr, il y avait quand même quelques exceptions, mais, c’était souvent comme cela, que ça se passait.

A propos d’artistes, il y en avait un qui était amoureux de Collioure. Ce n’était pas un peintre, mais, un chanteur, poète, le grand Charles Trenet.
Et toute cette histoire, me fait penser à une de ses chansons, que voici :

Que reste-t-il, de nos amours
Que reste-t-il, de nos beaux jours
Que reste-t-il, de ce que fut, Notre jeunesse. ? …

Il ne reste plus que le souvenir, d’un temps, disparu à jamais !

 

LOUIS FAUSTIN MONTARGES PÊCHEUR… et QUELQUES SOUVENIRS : par Louis Salembien 

   A notre époque, où l’on honore souvent, permettez-moi d’évoquer la mémoire de mon oncle  Louis Faustin Montargés, né en 1912. Descendant d’une lignée de  patrons-pêcheurs et pêcheur lui-même, membre des prud’hommes, très actif, il fonde en1946, la coopérative des pêcheurs. Sans lui, elle n’aurait jamais existée, et il en devient le directeur jusqu’à la fermeture. Je signale qu’à la fermeture, elle a été donnée à la commune pour le franc symbolique, malgré des offres d’achats alléchantes de promoteurs.

     J’ai péché sur plusieurs barques, notamment sur celle de mon grand-père : le Valmy, qui fut réquisitionnée pour placer des mines, le long du littoral. On la retrouva à la libération, très abimée. Du fait de la guerre, je n’ai pu continuer l’école, et il ne me restait plus que la pêche. J’embarquais sur le Jaurès, que mon oncle Louis Montargés, venait d’acheter, pour remplacer le Valmy. Le patron meneur était un nommé Vincent Delaris dit Barbe-bleue, et de surcroît unijambiste, comme dans les romans ! A cause de la guerre, l’essence faisait défaut, il fallait ramer (je signale, en passant, que les premiers moteurs, furent installés dans les années 20), ce n’est qu’en 1947, que l’essence est revenue. 


Cette après-guerre fut très pénible : nous n’avions ni bottes, ni cirés, et il fallait lever les filets, pieds nus malgré le froid de l’hiver. Après le Jaurès, mon voisin de quartier  Eugène Calmon dit le Borgne, me prit pour compléter son équipage. Puis, ce fut René Cabot,  un certain Fourcade dit en Dissabte et moi-même, pêchions  avec des demi-barques et faisions le travail d’une barque normale. La période la plus faste pour moi, fut celle que je fis avec Castuenyo dit el Genovès.

     En plus de pêcher la sardine, le bateau était équipé pour la petite pêche côtière, celle que l’on appelle communément « les petits métiers ». Car à cause des filets en nylon qui favorisèrent la pêche industrielle, la pêche au sardinal  est déréglementée au profit du lamparo en 1956-1957.

Les dernières unités restantes à Collioure se retirent à Port-Vendres jusqu’en 1962,  et d’autres n’ayant plus d’équipage, furent brûlées. Sur notre côte aujourd’hui, il n’y a plus un seul lamparo, ni une seule sardine. Collioure, n’est plus qu’un paysage figé, de carte-postale, où il ne se passe jamais rien, excepté la déferlante  de touristes en été !

             


Mais, que devenait, tout ce poisson péché, que tous mes chers compatriotes, s’empressaient d’aller puiser dans la mer ? Tout simplement, exposé à la vente.

     On  alignait, les corbeilles sur la plage (corbeilles de 50 kg, que les pêcheurs appelaient le Quintal).  La vente se faisait aux enchères descendantes, un responsable criait : A l’aixau à l’attention des éventuels acheteurs. Il y avait là : Les grossistes, détaillants, saleurs, transporteurs, curieux, profiteurs, touristes, et  enfants.

              L’argent récolté était confié à un responsable de confiance, et une fois par semaine les équipages se réunissaient dans un café, pour faire le partage devant une bonne bouteille de banyuls ou de pastis. Le préposé à la fonction, après avoir déduit les frais pour l’armement : essence, entretien du bateau et des filets, partageait le reste entre tous les présents. Le mousse  avait droit à une demi-part. Ici, pas de chèque, ni de carte bancaire, quand la pêche était bonne, chacun payait sa tournée, les cotisations à la caisse des invalides, sont aussi retenues.

              Quant à moi, n’ayant plus d’embarquement à Collioure, j’ai navigué sur deux pétroliers, dont un, battant pavillon Suisse, avec des voyages de trois mois, sans mettre pieds à terre. J’ai abandonné la mer en 1960 et pris le chemin de la dynamiterie de Paulilles où j’ai fini contremaître du service pétrissage.

Louis Faustin Montargés pêcheur, marin ? oui, mais pas seulement ! 

    


Beaucoup ne connaissent pas un des aspects de sa vie de militant engagé, dans la liberté des hommes. En effet, en 1936, mon oncle Louis Faustin Montargés assure le convoyage d’armes jusqu'à Barcelone pour les républicains en compagnie de Claude Simon 1 (1913 – 2005) qui était alors méconnu. Celui-ci à l’époque avait un pied-à-terre à Collioure, rue Saint-Sébastien. Je l’ai connu moi-même, j’avais 6-7 ans, quand il revenait de ses propriétés situées dans la plaine. J’allais chercher des fruits chez lui.

      En 1937 et 1938, on le retrouve en compagnie d’un autre colliourenc, J.F, sur un navire soviétique assurant la liaison Le Havre-Arkangels, qui transportait des armes pour les républicains ainsi que pour les révolutionnaires espagnols qui menaient leur propre combat indépendamment.

     Ce parcours valut à mon oncle par la suite, d’être arrêté par la police de Vichy. Sous l’occupation, les allemands l’arrêtèrent et le conduisirent à la citadelle de Perpignan pour un interrogatoire musclé. Ils le soupçonnaient de passer du monde en Espagne, ce qui était vrai.

     La carte de combattant de la résistance lui fut octroyée des années plus tard !

vendredi 1 janvier 2021

Suggestions Côtes du Roussillon - Vins de Pays catalan

Suggestions pour tous vos repas  

CHÂTEAU CAP DE FOUSTE Perpignan. 

Vin rosé  2019. La Rosée Appellation AOP Côtes du Roussillon  Clair et élégant, bonne fraîcheur . Cépage : Grenache noir 75%, mourvèdre 25%; Sol : Terrasses à galets .Ce rosé, accompagnera les garden parties de l’été, dont il sera le compagnon idéal des mets variés. Le mot de Sébastien Balaguer, Vigneron de ce domaine de Villeneuve de la Raho précise : Avec La Rosée, nous avons voulu procurer la fraicheur et le fruit à la fois

Bouteille élégante, qui attire le regard qui correspond à merveille à la clarté du liquide.
La robe est rose pâle aux reflets légèrement dorés. Le nez est intense et plein de fruits, fraises, framboises et plus étonnant la pêche ! L'attaque en bouche est souple, les arômes de fruits rouges dominent, la richesse et la gourmandise sont aux rendez-vous. Rosé aussi rafraichissant pour un repas durant la chaleur de l’été et très agréable sur des plats de poissons grillés.

Les Bulles de Cap de Fouste 2019

Appellation : Vin Pétillant blanc 2019, léger, rafraichissant est un atout pour démarrer ou terminer un repas. Ses bulles ne sont pas agressives et lassent un palais tout surpris par ce breuvage.

Au nez, on devine un arôme de fleurs sauvages et de fruits blancs comme un grain de muscat, ce blanc pétillant à des ressemblances avec quelques pétillants italiens.

Il convient même durant le repas de le servir très frais 8/10°, il s’adapte sur des plats relevés, de la charcuterie catalane, puis, pour le déguster au dessert sur des gâteaux secs. Idéal en clôture d’un repas de fête !

Rouge Cap de Fouste Élégance 2018


Rouge Élégance 2018. Appellation A.O.C. Cépages 70% Syrah et 30% Carignan.

 La robe est dense et profonde aux reflets violets avec une belle viscosité. Le nez est intense et tout en finesse avec des arômes de cassis compotés et d'épices, le tout sur une finale poivrée et vanillée. Le bois est bien maitrisé et le potentiel de garde est important.

 Un excellent vin pour une dégustation conviviale. 

Ce vin se déguste généreusement avec des côtes de porc de l’échine, des côtelettes d’agneau, de la saucisse catalane, ou bien en guise d’apéritif sur des tranches fines de magret de canard séché et poivré.  

Votre serviteur a apprécié aussi ce vins avec des cristacés méditerranéens, huitres, moules de Leucate, couteaux, etc...

Température de services 16° à 18°. On peut garder facilement ce vin en cave quelques 4 ou 5 années

MAS CRISTINE. Argelès-sur-Mer.Rosé 2018

Vin de Jean-Pierre Grill - Appellation Côtes du Roussillon 2018. Cépages : Grenache Noir 95% Syrah 5%Terroir : argilo-calcaire / quartz / schistes. La vendange est manuelle récoltée en comportes. D’un rendement de 30 hl/hectare. Ce Rosé est pressuré par grappes entières 95%. La vinification est réalisée en cuve inox. Ce vin accompagne agréablement les cuisines asiatiques, le poisson à la planxa, tout comme une excellente paella. Servir a 14-16C.Mas Cristine Argelès-sur-Mer Rouge 2017

Rouge : Appellation Côtes du Roussillon 2017. Cépages : Grenache Noir 50%, Syrah 40%, Carignan Noir 10%. Élevage en cuve et barrique. Ce Côtes du Roussillon est avant tout un vin qui exprime la densité du terroir. Les sols à base de schiste donnent à ce vin une belle sensation de fraîcheur et de minéralité. Un travail de sélection parcellaire
permet de récolter des raisins avec une maturité optimale sur les sucres, les tanins et l'acidité. Une attention particulière est portée au tri de la vendange à son arrivée au chai. Le vin est élevé pour partie en fûts de chêne pendant une dizaine de mois.
Des accords harmonieux sur des Grillades catalanes traditionnelles au feu de sarments, escargots grillés (cargolades) ou en sauce aux gambes, entrecôtes, travers de porc (costelló). Servir à 16°. Bonne garde jusqu’à 5 ans.


Mas Cristine Argelès-sur-Mer Blanc 2019 Cépages :    Assemblage de Macabeu, Roussanne et grenache gris avec une touche de Marsanne et carignan gris. Après un ramassage manuel et un pressurage doux, le vin fermente pour 50% en fûts. Un blanc sur la fraicheur.Accords mets & vin : Vin d’une remarquable fraîcheur qui peut se déguster sur de nombreux plats cuisinés. Mais en plus avec des Fruits de mer, tapas, fromages et tomme.


Mas Cristine Argelès-sur-Mer Rouge 2018
Mas Cristine rouge 2018. Appellation AOP Côtes du Roussillon

Cépages Grenache, Carignan et Syrah - Vin rouge - Bouteille de 75 cl - Vinification et élevage : Le raisin est porté au tri de la vendange à son arrivée au chai et est élevé après avoir été éraflé et trié. L’élevage est effectué en fûts de chêne pendant une dizaine de mois.  Dégustation : la robe est grenat sombre, à peine translucide. Le nez est classieux, séducteur, sur le cassis, le Havane, le cuir, le cacao, et la pierre chauffée au soleil. La bouche est à la fois ample et élancée, déployant une matière fine, veloutée, faussement légère. La tension est plus due à la fraîcheur aromatique – presque italienne dans l'esprit – qu'à l'acidité.
     La finale gagne en mâche et densité, avec des tanins présents mais mûrs et fondus, mêlant les fruits noirs au cacao, mais aussi des notes nobles d'élevage (chêne torréfié) . Ce vin convient, particulièrement grâce à ses accords harmonieux sur des Grillades catalanes traditionnelles au feu de sarments, escargots grillés (cargolades) ou en sauce aux gambes, entrecôtes, travers de porc (costelló). Servir à 16°. Garde jusqu’à 5 ans. Servir à 16°C

CHÂTEAU DE VALMY Argelès-sur-Mer.

Rouge 2016 : Le Premier de Valmy  Cépages : Mourvèdre, Syrah. La robe est rouge soutenu. Le nez est puissant avec des notes de torréfaction, de vanille, de réglisses apportées par la Syrah. Le Mourvèdre  s’exprime en bouce au travers de notes légèrement poivrées. Les accords mets et vins : Viandes rouges, côte de bœuf, civets et fromages affinés. Température de service : 16° à 18°. Conservation de 4 à 5 ans Rouge : Le Secret de Valmy - Cépages : originaires du sud-ouest, IGP Côtes Catalanes.
Belle robe cerise noire proche du grenat. Nez aux notes de torréfaction, d'épices. Bouche d'une belle matière, ronde, équilibrée et gourmande avec un joli support tannique. Viandes rouges en sauces, civets, entrecôte au feu de bois. Gigot d'agneau en croûte d'épices. Très petite production de 1000 bouteilles.

Rouge 2017 : Le Premier de Valmy  
Vin rouge. Appellation AOC Côtes du Roussillon. Cépages : Grenache, Syrah, Mourvèdre La famille Carbonnell, Vignerons, propose ce rouge qui est un des fleurons du Château de Valmy. C’est un vin puissant et charnu, riche d’arômes de fruits murs et aux tanins veloutés. Il est concentré et gourmand, avec de jolies notes de réglisses et d'épices.

A servir à 16-18°C. Cuisine orientale et méditerranéenne, osso-buco, agneau au thym, civet, charcuterie catalane, fromages affinés.

Reconnu par ces pairs, ce Premier de Valmy a obtenu la Médaille de Bronze au concours des vins 2020 : Vignerons Indépendants.


Rosé 2019. Château Valmy.

Château Valmy rosé 2019. Appellation Côtes du Roussillon. Cépages : Grenache noir et Syrah. Ce vin rosé, bénéficie d’un terroir exceptionnel et d’une exposition privilégiée. Sa couleur claire, est attirante grâce à des reflets de roses sauvages ! 

C’est un vin de plaisir, à la robe pâle et brillante. Notes de petits fruits rouges frais, framboise et groseille se mêlent à des notes de bonbons anglais. 
En bouche, l’onctuosité et la fraîcheur caractérisent l’équilibre de ce vin à consommer frais, de 10 à 12°. Rosé qui vous accompagne aussi bien à l’apéritif comme durant le repas.
 
Trésor de Valmy.  VDN 2017 Trésor de Valmy 2017
Appellation VDN Rivesaltes Hors d'Age. Cépages : Grenache Blanc et Muscat petits grains Muscat Petits Grains et Grenache blanc élevés en Solera - Un brin d'intuition, un soupçon de certitude, une
poignée d'audace, un peu de chance et une mer de patience. Voilà la clef du trésor ! C'est un concentré d'arômes aussi variés qu'envoutants comme les zestes d'agrumes confits, les fleurs d'acacia, la figue sèche, le sous-bois…
Accords mets & vin :
A l'apéritif, son domaine de prédilection, ou en digestif.
Sur un foie gras mi- cuit, pour un accord velouté, fromages bleus, l'accord subtil sucré/salé, une salade de fruits et sorbets ou en accompagnement, des rousquilles et des croquants de Saint Paul. Elevage : en fût de chênes pendant 8 à 10 ans en solera.
Servir de 10 à 12°.

Premier Rosé 2020. Valmy  

Deux vins de l'Albera médaillés d'Or :
Concours mondial des Féminalise 2021
Vin Rosé / Grenache noir AOP Côtes du Roussillon
Robe très pâle, brillante avec quelques reflets cerise,
Des notes d’agrumes et pamplemousses.
En bouche, une séduisante minéralité et une belle fraicheur se dégage. Sa complexité aromatique apporte à ce vin de charmantes notes fruitées et beurrées sur la finale.
Accords Mets et Vins :
Ce rosé gastronomique se mariera parfaitement avec des sushis, du saumon, un carpaccio de bœuf ainsi que des tartares de viande ou de poisson.

Valmy Château Blanc 2020
Concours mondial des Féminalise 2021
Vin Blanc / Grenache blanc, Marsanne AOP Côtes du Roussillon
Issus du terroir argilo-calcaire qui entoure le château, et vendangés à la main, les vins Château VALMY sont vinifiés pour exprimer fraîcheur et arômes de fruits frais.
Accords Mets et Vins :
Grillades de poissons, viandes blanches, fromages frais...



DOMAINE DU CLOS DES FÉES. Vingrau.

Rouge vieilles vignes 2016 Appellation Côtes du Roussillon Villages. Cépages :Grenache noir, Carignan, Syrah. Cette cuvée est issue de l’assemblage des plus vieilles vignes du domaine, entre 50 à 100 ans. Elle est composée précisément de grenache, carignan, lledoner pelut et de syrah, provenant d’un terroir argilo-calcaire.
      

Le travail en vert occupe une place primordiale : taille en vert, entrecœurs, effeuillages. Les vendanges se font à maturité parfaite, avec un tri minutieux à la vigne. Les raisins, une fois égrappés, subissent une fermentation pré-fermentaire en petites cuves inox, à basse température avec pigeages et remontages quotidien. Le vin profite ensuite de macérations allant jusqu’à 25 jours, jumelés avec des extractions raisonnées lentes et douces. L’écoulage se fait ensuite à chaud en barriques d’un vin et de deux vins, dans lesquelles l’élevage est conduit pendant 12 mois. Un affinage de 2 mois en cuves clôture l’élaboration de cette cuvée.
      Ce vin,
fait ainsi preuve de concentration et de puissance dans ces arômes. Les tannins sont mûrs et épicés, sur une belle minéralité. C’est un vin charmeur, avec un fruité dense et lumineux. Le vin est charnu, bien structuré et très harmonieux. Les notes de baies rouges et noires, de garrigue et de réglisse s'enroulent autour de tanins vigoureux. Il se savoure sur des viandes sauvages, sur un civet de sanglier ou des côtelettes d’agneau catalan. Possède un potentiel de garde d’au moins 6 ans.



DOMAINE DE L'ARCA. Saint-Nazaire
Rouge Cuvée Jeanne d'Orca 2016. Appellation : IGP Côtes Catalanes Cépage : 100% Mourvèdre. Vieille vignes de 1950- Cuvaison en cuve bois ouverte- 36 jours- Pressoir manuel- Fin de vinification et élevage en barrique 18 mois + 6 mois de vieillissement en bouteille.
Cette vinification, est un bon prélude à une bonne garde de quelques années.
     Belle couleur pourpre reflets dorés assez typique du mourvèdre. Nez floral, très atypique. On est plus sur un pinot que sur un mourvèdre. Belle bouche tout en longueur, très douce, chocolatée, légèrement kirschée. Ce vin se marie avantageusement avec la charcuterie catalane et les excellents civets de produits de basse-cour ou du gibier.
S'apprécie aussi à l'apéritif. Servir de 16 à 18°.

LAS MARIQUITAS. Argelès-sur-Mer.

La Nine Rouge 2017. Appellation Côtes du Roussillon rouge. Rubis sombre aux reflets améthyste, nez de pâtes de fruits, mûre, cassis, myrtille, bien noires et bien épicées de poivre, de genévrier et de cumin. La Nine a aussi un petit côté animal parfumé de rose qui nous interpelle. Mais c’est son accent rustique aux tanins affirmés qui nous captive. Sa fraîcheur ressemble à deux cailloux qui s’entrechoquent. 
     Elle est rude, la Nine, mais s’apprivoise petit à petit. Sans la brusquer, quelques girations la font tournoyer dans le verre, la font rire, nous font sourire. Volutes endiablées qui font s’envoler fragrances bien plus raffinées qu’espérées. Ce sont alors corbeilles de fruits, monceaux d’épices, bouquets floraux, qui étincelants surgissent et nous font dire que la Nine se donne à qui sait lui plaire. Assemblage de 80% de Syrah et 20% de Carignan qui macèrent durant 20 jours. Les vignes sont âgées de 50 ans. Élevage en barriques pendant 5 mois.
 

DOMAINE MAS SAUVY. Villeneuve-de-la-Raho 

 

Rouge L’Esprit Sauvy 2019. Millésime : 2019
Appellation : Vin des Côtes Catalanes. Cépages : Merlot et Syrah

Sol : Plaine Sablonneuse
Vinification : Macération traditionnelle de 10 jours

Notes de dégustation : Véritable vin de plaisir, l’Esprit Sauvy Rouge séduit d’abord l’œil avec sa robe aux beaux reflets grenat. Au nez, il dégage des parfums de fruits mûrs et juteux avec de délicates notes d’épices. En bouche, l’attaque est vive et son équilibre parfaitement maîtrisé ainsi que le joli fondu des tanins en font un vin gouleyant, souple et facile à boire.
A déguster sur des viandes grillées, de la charcuterie, civets, escargots sauce catalane. Température de service : 16 à 18 °C

 

DOMAINE FOULARDS ROUGES. Montesquieu. 

Rouge 2017 : Rouge Les Vilains 

Vin de pays rouge. Cépages : Carignan 70% et grenache 30%. Vieilles vignes de 80 ans. Rendement autour de 20 hl/ha, sur des sols sablonneux granitiques. Domaine certifié bio. Côté vinification: macération carbonique de 15 jours, levures indigènes. Élevage 10 mois en barriques de 5 vins. 
Les Vilains : Bouteille solaire, jus croquant, mordant... Quille fruitée, fraîcheur et équilibre... Bouche pleine, finale en rondeur. A glouglouter dès à présent.
        Rouge 2017 : La Negra -Vin de pays rouge. Cépage : Carignan 40% et Grenache 60%. 75cl et Magnum. La Negra est une cuvée à 4 mains, elle est faite en collaboration avec Laurence Manya Krief, viticultrice à Banyuls au    Domaine Yoyo. C'est une cuvée d'assemblage de 60% de Grenache Noir et de 40% de Carignan. Elevage en barriques de 5 vins et en demi-muids de 400 litres. Une grande partie des barriques viennent de chez Fred Cossard. Carignan de très grande finesse, Grenache de belle fraîcheur, une bouteille qui va être bue bien vite encore et qui respire le travail bien fait et.... l'amour.
 
  CHÂTEAU DE VILLECLARE. Palau del Vidre.Jonquères d'Oriola.


Rouge 2017 Cuvée Passion. Appellation : AOC Côtes du Roussillon. Cépages: Syrah 70%,Grenache noir 20%, Carignan noir 10%. Des parfums avec une dominante florale que l'on retrouve en bouche. On ne résiste pas aux saveurs amples veloutées, onctueuses qui s'en dégage. En bouche, une finale légère et fluide mais d'une certaine ampleur. Peut se garder 3/4 ans.Ce vin puissant, fruité, à très fort caractère, convient

raisonnablement à un cassoulet maison, une viande grillée sur des sarments, que ce soit bœuf, porc ou agneau et pourquoi pas une pièce de sanglier en civet. Se sert aux alentours de 17/18°.
La demeure familiale, est œuvre de Viggo Dorph-Petersen architecte de Valmy à Argelès.
Elle n’est pas éloignée des bâtiments agricoles. Face à un parc magnifique où les chevaux se promènent librement sous des frondaisons remarquables, il y a la villa. Déjà une petite légende orale la rend plus mystérieuse. Au cours d’un voyage, un ancien propriétaire des lieux, aurait ramassé des glands de chênes d’Amérique, pour les semer ensuite dans cette terre fertile où ils atteignent aujourd’hui une hauteur imposante". 
 

CHÂTEAU MOULIN DE BREUIL. Montesquieu. Joseph de Massià. Rouge 2018.                               

Rouge Cuvée Élégance 2018 : Appellation  Côtes du Roussillon Rouge.IGP.
    Cépages : Syrah - Grenache Noir – Carignan. La robe est soutenue, pourpre, avec de délicats reflets d’évolution. Le nez délicat dégage des arômes de fruits compotés (fraise, pruneaux, cassis) et d’épices. La bouche est ronde, souple à l’attaque, avec des senteurs de garrigues et de violettes. Servir entre 15° et 17° suivant vieillissement. S’allie avec de la charcuterie catalane ou sur une entrecôte grillée à l'alloli


Moulin de Breuil
Rouge 2018  
Cuvée Chant des cigales  
Rouge d’appellation Côtes du Roussillon.  
Millésime : 2018  
Cépage : Grenache 100%  
Cette fois-ci la parcelle est au midi, mais le cépage du Grenache et l’âge de la vigne le permet. Le sol comportant un bon pourcentage de galets roulés (gneiss principalement) est un facteur important de qualité.  Ils sont parfaitement adaptés à la vigne en favorisant la diffusion des racines avec plutôt une bonne réserve hydrique en profondeur. L’âge de la vigne, le facteur terroir, le très faible rendement, apportent ce qui fera l’exception de ce Chant des Cigales.

 Ce grenache nous offre une belle robe rubis à la fine lisière violette. Le nez est un bouquet de fruits mêlant framboise, cerise et mûre. A l’agitation, les fruits noirs s’imposent, pruneaux et myrtilles. L’attaque en bouche est souple et gracile, les arômes de fruits rouges explosent en un feu d’artifice. Ce vin rond et allie puissance et légèreté. Les caudalies sont longues et se terminent sur une note d’épices de la garrigue, thym et romarin tout en fraîcheur.

En bouche, ce vin très appréciable se déguste avec bonheur depuis la charcuterie catalane ou bien sur un  Civet quel qu’il soit. Servir à 18°.
 
Moulin de Breuil Summa Rouge 2018  Appellation : I.G.P. Côtes Catalanes. Cépage : Syrah. Âge moyen des vignes : 20 ans. Nez puissant où s’entremêlent fruits noirs (olive, poivre) et des notes florales (violette). Le raisin est récolté à la main, mis en caissettes, vinifié en petites cuves avec une extraction très douce.
 Son élevage s'effectue durant 11 mois en futs de deux vins après fermentation malolactique.
Ce vin est riche, puissant, tendu par une belle acidité, des tannins fins et denses, masquent encore une partie de la délicatesse que le vin a en réserve. Le vin sera à son apogée d’ici 4 à 8 ans. Servir de 16° à 18°.
Maintenant à condition de le carafer 12h.
Possible en grande restauration avec un « service au verre » ! Le Summa s’accommode parfaitement aux terrines de gibier, gigot d’agneau, pigeon. Dans quelques années avec du gibier à plume bécasse
 

VIGNERONS D'ARGELES. Argelès-sur-Mer

Massana Rouge 2015 . Rouge. Appellation Côtes du Roussillon. Robe rubis profond. Nez puissant légèrement vanillé avec une touche pivoine.
Très longue structure en bouche, frais et bien équilibré. Garde 4/5 ans. Accompagne harmonieusement les viandes rouges, les gibiers et fromages de caractères. Servir à 16/18°.  A noter que ce vin avait obtenu une « Roue d’argent » décernée par le Rotary International

Roc de la Perdiu VDN Hors d’âge : Robe brillante orangée aux reflets bruns. Nez puissant et complexe de noix, de cacao et de figues. Bien soutenu en bouche, il laisse apparaître une finale caramélisée et de fruits à l’eau de vie. On peut le servir à l’apéritif ou bien avec une entrée de foie gras ainsi que des desserts au chocolat. Peut vieillir sans crainte. Servir à 12/14°. 

 

VIGNERONS DE L'ALBERE. Saint Genis des Fontaines. 

Rouge 2016. La Mandorie

Vieilli en fûts de chêne La Mandorie - Vignerons de l’Albère St. Genís - Appellation AOC Côtes du Roussillon. Cépages : Syrah 80% Grenache Noir 10% Carignan 10%
Vinification ; Élevage en fûts neufs pendant 12 mois. Dégustation ; Le vin, issu des plus vieilles vignes exprime la typicité du terroir et le caractère du millésime. Son nez exprime des arômes de moka et de torréfaction. En bouche, ses tanins sont veloutés. Atypique par sa puissance et sa concentration, il a toutes les qualités d'un vin de garde.
Ce vin accompagne parfaitement les civets, les viandes en sauce et le gibier. Une splendide robe grenat à légers reflets tuilés. Admirable finesse au nez pour ce vin séducteur aux notes fumées bacon, griotte et truffe. Une bouche racée, élégante avec des tanins longs et soyeux. Finale longue aux notes minérales et amandes grillées. Température de service 18°C - Temps de garde 10ans - Possibilité de le carafer de 30min à 2h avant la dégustation. Accords mets & vin : Un vin pour les grandes occasions. Il est bon pour accompagner des viandes rouges, du veau ou du bœuf, rôtis ou grillés. Il est aussi excellent avec des mets épicés ou un fromage vieilli. 
 

CHÂTEAU DOMAINE LAFAGE.           

Rouge "Authentique" 2019 ; appellation : Côtes du Roussillon. Cépages : 50% Carignan, 40% Syrah, 10% Grenache. Couleur rouge légèrement violacée dans un grena profond. Cette cuvée authentique est une très belle interprétation des vins roussillonnais et révèle un nez intense de fruits rouges sur une matière douce et élégante, pour le plus grand plaisir des épicuriens. Impossible d'y résister tant la promesse d'une excellente dégustation est à portée de bouche. C’est un vin charnu d’où s’exhale des arômes de fruits rouges murs. En bouche, on perçoit l’équilibre entre les saveurs diverses qui s’expriment dans ce breuvage.

     Il accompagne très bien, les saveurs des plats ou entrées catalanes comme la charcuterie, les civets, gibiers et cargolades au feu de bois. Servir à 14°. Peut se garder trois bonnes années.
 
 
CHÂTEAU MAS DE LAVAIL. Maury
 
Rouge Tradition 2018
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Appellation : Côtes du Roussillon Villages contrôlée.
Depuis sa plus tendre enfance, Jean Batlle, né vigneron a appris à aimer la vigne et le vin. Sa production comprend les appellations Côtes du Roussillon Villages et VDN Maury.
Le terroir, est composé d’éléments Argilo-calcaire.

Cépages : 30% Carignan (vieilles vignes vinifiés en macération traditionnelle), 40% Syrah (longue macération traditionnelle)et 30% de Grenache noir Grenache noir (longue macération traditionnelle).
Vinification : Vignes sélectionnées pour leur petit rendement (25 hl /ha), récoltées en pleine maturité.
Vendanges manuelles.
Ce vin, se présente dans une belle robe pourpre. Son intensité aromatique comprend beaucoup de concentration, en bouche il diffuse des arômes de fruits rouges, d’épices fines, tanins soyeux, très fins, finale réglissée.
Idéal en accompagnement de la cuisine méditerranéenne, grillades
 

DOMAINE MAS ROUS. Montesquieu des Albères. 

Rouge 2017. Le Domaine est certifié Bio depuis 2014. Appellation Côtes du Roussillon. Ces vins sont d’appellation Côtes du Roussillon. Vous avez un choix exigeant entre le rosé et les rouges à déguster. Le rosé 2018, fruité concentré, avec des nuances d’abricot. Très agréable rouge cuvée 2017, de couleur pourpre  intense, possèdent des tanins amples et savoureux, il est légèrement épicé et très parfumé Ces vins, s’accommodent avec brio sur des foies de volaille aux tomates ou des tendrons de veau braisés. 

 
Le rouge Tradition Rouge 2018, est intense de couleur comme en arômes, qui rappellent les fruits mûrs et les épices, aux saveurs légères et soutenues à la fois. Il se marie très agréablement sur du Civet, Gibier, Viandes rouges, fromages de caractère.
 
 
 

DOMAINE SAINT-THOMAS. Argelès-sur-Mer.

Rouge Cuvée Louis Olivé. 2019. Appellation : AOP Côtes du Roussillon,  
Cépages : 60% Syrah et 40%   Grenache. Sol : Argilo-caillouteux. Vigne âgée de 40 ans. 
Vinification : Récolte égrappée puis pressée directement avant une fermentation lente à température contrôlée en cuves inox. Macération
traditionnelle pendant 15 jours sous marc.
      Le vin est élevé en barriques de chêne français de 500L pendant 1 an. Température de service 16/18° (température ambiante).
     Notes de dégustation :
Au nez se dégagent des arômes de petits fruits noirs sublimés par des notes vanillées et boisées. 
La bouche est souple, tendre avec un volume tout en rondeur où se mêlent la mure, le cassis et les épices douces. Tanin léger, fondus et très doux.
     Suggestions d’accompagnement :
Une côte de bouf saisie dans une noix de beurre ou un camembert fondu, des p^tes, viandes blanches.
Cette Cuvée Louis Olivé a un potentiel de garde : 7 ans environs
 Fiche technique du Domaine.
 

DOMAINE SANAC. Saint Genis des Fontaines

Rouge 2017

     Rouge Portraits de Femmes : Laissons la cave nous présenter cette cuvée excellente Cette cuvée est dédiée aux femmes de notre famille. A travers les différentes époques, elles ont œuvré aux côtés de leurs époux, de leurs fils, le plus souvent dans l'ombre Elles ont traversé les guerres, connu l'embellie viticole, la révolte des vignerons de 1907, l'abandon du monde paysan, le retour des enfants à la terre. Mais elles ont su écouter, soulager, épauler et patiemment donner une Âme à notre Domaine
C'est pour leur rendre hommage que nous les Femmes d'aujourd'hui avons récolté délicatement à la main ce vieux Grenache, que nous l'avons vinifié avec passion pour qu'il vous révèle ses arômes les plus... féminins.
Robe aux reflets grenat.
Nez aux notes florales, bouche marquée violette, fruits rouges confits. Servir à 18° à l'apéritif, sur une cuisine aux arômes de garrigue..
 

DOMAINE FREDERIC SCHRAM. Fourques. Argelès-sur-Mer

Black Night Rouge 2017 : Appellation Côtes du Roussillon Récolté dans la région des Aspres. Un rouge puissant avec une robe profonde, intense, brillante d’un grenat presque noir (Black).
      Au nez une explosion de fruits très murs telles les mûres ; parfois quelques arômes de violettes, de figues et de cacao.
      En bouche : c’est un vin très structuré et complexe, qui laisse une ampleur dense grâce à la finesse de ses tanins. Les arômes préalables du nez, confirment un noir très long en bouche et ses saveurs confiturées. Se déguste à 16°.
     Incomparable sur un civet de sanglier, tout gibier en sauce ou sur de la charcuterie catalane. Pourquoi-pas aussi à l’apéritif.
Potentiel de garde entre 7 et 10 ans suivant le palais de chacun
Attention : Les vins sont toujours à consommer avec modération. Leur abus est nuisible à la santé